La circoncision protège contre le SIDA : Une découverte révolutionnaire qui en cache beaucoup d’autres !!! [Oui, ”c’est le péché qui tue et non le VIH” !!!].

La Journée mondiale de lutte contre le SIDA (1er décembre) coïncide cette année avec le Magal de Touba ; de plus, elle sera célébrée au lendemain de l’ouverture de la Conférence mondiale sur le changement climatique à Paris ; et tout cela dans un contexte d’insécurité généralisée, en rapport avec l’extrémisme religieux (attentats terroristes). Autant donc anticiper et profiter de ces moments de ferveur religieuse dans notre pays, pour réorienter la recherche qui, il faut le regretter, a évolué jusque-là à contre-courant des ‘’Textes Sacrés’’ (Coran, Évangile, Thora) qui sont pourtant une ‘’explication de toute chose’’ pour les croyants (toutes confessions confondues), Ainsi, dans cette perspective de réconciliation entre la foi et la raison, nous avons choisi de revenir sur le rôle protecteur de la circoncision contre le SIDA – Une découverte majeure qui n’a pas encore fini de livrer toutes ses conclusions.

En vérité, la circoncision est une tradition qui remonte au Prophète Abraham – contemporain de Loth résidant à Sodome et Gomorrhe où a vu le jour la première communauté homosexuelle ; elle a été perpétuée dans toutes les religions monothéistes (Judaïsme, Christianisme, Islam) ; puis, avec le temps, les positivistes, chrétiens essentiellement, l’ont trouvée superflue ; mais avec l’avènement du SIDA, tout laisse croire qu’elle va retrouver son importance d’antan, voire plus.

En effet, plusieurs études ont confirmé sans l’ombre d’un doute que les hommes circoncis sont beaucoup moins vulnérables au SIDA que les autres (4). Selon Roger SHORT de l’Université de Melbourne en Australie, dans une publication dans le prestigieux British Medical Journal, la circoncision pourrait devenir un instrument de choix dans la lutte contre le SIDA dans les pays où l’infection atteint des niveaux élevés (4) ; elle supprimerait les « cellules réceptrices au VIH » et rendrait donc la transmission du virus plus difficile (4). Il serait aussi question d’épaississement de la peau du gland qui s’opposerait à la pénétration du VIH (5). Auparavant, des études avait confirmé le rôle protecteur de la circoncision contre les infections sexuellement transmissibles (IST) ; et donc rien d’étonnant qu’elle protège contre le SIDA quand on admet que la sensibilisation préalable des lymphocytes par un agent pathogène, tels les mycoplasmes ou d’autres germes responsables d’infections sexuellement transmissibles, est nécessaire pour que l’infection au VIH soit productive de SIDA ; c’est la « théorie des cofacteurs » dont le Professeur Montagnier est l’un des plus grands défenseurs (2). Dans tous les cas, ces résultats scientifiquement très solides constituent une explication supplémentaire de la faible incidence de l’infection au VIH et du SIDA dans les pays musulmans où la circoncision est un acte cultuel (1) (3).

Oui, Il est actuellement très clairement établi que la circoncision protège contre le SIDA, dans au moins 50% des cas ; en effet, ceci été vérifiés et contrôlés par différentes études managées par les américains (en Ouganda et au Kenya) et les français (en Afrique du Sud) avec des partenaires africains ; mais très curieusement, devant l’évidence de la réalité de la protection de la circoncision contre le VIH/SIDA, les études ont été arrêtées par les américains – ce que nous regrettons et pensons que la réflexion doit être poursuivie et les résultats affinés, en tenant compte des motivations de la circoncision et de la confession.

Et selon le Professeur DELFRESSY, Directeur de l’Agence Nationale de Recherche sur le SIDA (ANRS), dont nous saluons l’ouverture d’esprit, cette avancée majeure ouvre des perspectives qui dépassent largement le cadre de la recherche et de la science et interpelle la société civile dans  tout son ensemble et toute sa diversité (intellectuels, religieux etc.) (5). Ainsi, toutes les sciences sociales – dont la religion – devront être mises à contribution.

Voilà donc une découverte extrêmement importante ; une découverte révolutionnaire qui, de notre point de vue partagé par de plus en plus de confrères, devrait permettre à la Médecine moderne de se réformer, de se globaliser et de se spiritualiser, en tenant donc compte de la dimension véritable de l’homme qui est à la fois corps et esprit. Et ainsi, la médecine moderne ne s’en porterait que mieux.

Précisons d’emblée que dans la perspective religieuse, cette découverte ne fera pas baisser les bras pour ce qui est de la prévention. Bien au contraire, car c’est l’acte répréhensible (adultère, homosexualité, toxicomaie, etc.) qui y est déterminant pour la survenue d’un SIDA. Oui, ‘’’c’est le péché qui tue et non le VIH’’. Ainsi, toutes les stratégies visant à se protéger sans rompre avec la pratique à risque ne feront que déplacer les problèmes, en entraînant d’autres fléaux (cancers ou autres affections létales auto-immunes ou dégénératives, ou infectieuses, sans compter les « plaies » et catastrophes naturelles de toutes sortes). (6)

Il est aussi bon de préciser que dans la perspective religieuse, qui n’est pas différente dans les principes de celle des autres religions monothéistes (Christianisme, Judaïsme), rien n’interdit l’usage du préservatif ; il pourrait très certainement rendre des services dans bien des cas. En effet, c’est toujours bon de se protéger, mais c’est encore mieux d’éviter le péché. Et certes, la sensibilisation classique fondée sur une information générale pragmatique et porteuse d’une certaine morale est nécessaire, mais ne suffit pas (2), car il est en réalité très difficile de se départir d’un comportement à risque en dehors d’une motivation spirituelle. En effet, c’est la prière, et elle seule, qui peut, en vérité, prémunir l’homme de la tentation et donc de la turpitude et des actions blâmables (adultère, toxicomanie, tabagisme, alcoolisme) (7). Encore un axe de recherche qu’il faut explorer – Un défi coranique et biblique ! N’est-ce pas ?

En réalité, tout ce que Dieu recommande est bénéfique pour l’homme, même si on en ignore le fondement. Et le plus souvent, ce n’est que bien plus tard que l’on se rend compte de la pertinence d’une telle mesure – L’exemple de la circoncision est là et plus qu’évocateur !!! Pour ce qui est du vin, de la bête trouvée morte (Ebola), du tabac et des autres drogues, la cause est entendue depuis très longtemps. Et à l’évidence, le porc qui est interdit explicitement ou implicitement par toutes les religions monothéistes (Judaïsme, Christianisme, Islam) ne devrait pas échapper à la règle. (8)

Au vu de tout cela, il apparaît évident que la lutte contre le Sida se confond, à la limite, avec celle contre tous les fléaux (Sida, Ebola, cancer, maladies cardiovasculaires, réchauffement climatique, crise économique et financière, insécurité, déclin démographique, etc.) ; elles appellent toutes à un changement de comportement moral. Oui, c’est le même combat ; et donc retour à l’ordre moral ou périr !!!

Et au delà, cette contribution inédite sur le Sida est, en vérité, la confirmation d’un rêve !!! Oui, j’ai vu en ‘’rêve clair’’ Cheikh El Hadj Oumar Foutiyou TALL ; il était en costume européen bleu, dans un grand amphithéâtre ou j’étais le seul  étudiant. Et il m’a dit, entre autre : « je suis venu te dispenser un cours sur  la nécessité de l’introduction de la dimension spirituelle en médecine moderne ». Le cours n’a pas duré plus de trois minutes, mais j’ai retenu tout ce que je devais retenir – Dieu merci ! Il ajouta : « … Tu es chargé de continuer, au seul plan idéologique, la ‘’guerre sainte’’ que j’ai commencée avec les armes ; et ta langue fera plus mal que le tranchant d’une lame de sabre ». Et plus de dix  ans auparavant, j’ai vu en rêve le Prophète Mouhammad (PSL), dans état étrange, vraiment étrange (‘’haqiqa’’) ; et il (PSL) m’a dit, entre autre : « C’est bien moi, le Prophète Mouhammad ; Satan ne peut pas se substituer à ma personne ; sois patient, sois ferme comme du roc, tout ira bien – in.châ’Allah ».

Et tout cela s’inscrit dans une entreprise de restauration de la Médecine moderne, en rapport avec la mission du Mahdi (retour de Jésus fils de Marie) [Coran : (43. L’Ornement : 57-61 – Az-Zukhruf) ; (2. La Vache : 253 – Al-Baqarah) ; (4. Les Femmes : 158-159 – An-Nisâ’) ; (98. La Preuve Décisive : 1 – Al-Bayyinah). Bible : (Luc 17 : 20-37 ; (Luc 21 : 9-38)]. Oui, une preuve décisive à l’appréciation de la communauté scientifique internationale et de tous les ‘’gens doués d’intelligence qui raisonnent et se rappellent’’ (16. Les Abeilles : 10-13 – An-Nahl) ; ainsi, les savants sont interpellés, car ils sont les seuls qui comprennent les paraboles d’Alah et Le redoutent véritablement [(29. L’Araignée : 43 – Al-Ankabût) ; 35. Le Créateur : 28 – Fâthir)]. Oui, selon le Prophète (PSL), ‘’la Religion, c’est la Raison ; celui qui n’a pas de raison, n’a pas de Religion’’ (Hadith). Et donc en d’autres termes, ‘’qui n’a pas de Religion ne peut pas être un vrai savant’’ – Une vérité certaine !!!

DOCTEUR MOUHAMADOU BAMBA NDIAYE, Ancien Interne des Hôpitaux de Dakar, Pédiatre à Thiès