Tambacounda : Le Dg de la Sn Hlm fait enrôler 1’000 élèves dans la CMU-Elèves.

 

L’assemblée générale de la coordination des jeunes de la tendance Mamadou Kassé, Dg de la Sn Hlm va rester pendant longtemps gravée dans les mémoires des tambacoundois. L’occasion a été saisie par le responsable politique de remettre au directeur régional de l’agence de la CMU, l’intégralité du montant nécessaire à l’enrôlement d’un millier d’élèves du département dans le programme de la couverture maladie universelle pour élèves. Cerise sur le gâteau, un montant de 1,5 million de nos francs a aussi été décaissé pour permettre aux femmes de sa tendance de développer des activités génératrices de revenus sans oublier la contribution allouée à la case des tout-petits d’Afia pour sa réhabilitation.

Ce 24 novembre va être mémorable pour les tambacoundois. Elle a coïncidé avec l’Ag des jeunes de la tendance Mamadou Kassé au cours de laquelle, le flambeau a été transmis par Idrissa laye à Ansoumane Diedhiou avec instruction de le hisser haut et partout pour un rayonnement de l’Apr. Beaucoup d’autorités de la commune dont le maire Mame Balla Lô, ont pris part à la rencontre. Toutefois, l’apothéose a été les moments choisis pour remettre aux femmes un financement et au directeur de l’agence de la CMU de Tamba, le montant nécessaire à l’enrôlement de 1.000 potaches dans le programme. Pour Mamadou Kassé, c’est une manière d’apporter sa pierre à la construction de l’édifice de la ville. Ces montants consentis, explique-t-il, sont certes petits mais, ils demeurent importants pour les bénéficiaires. Aujourd’hui, martèle le boss de la Sn Hlm, il est connu de tous que la santé est un intrant fondamental pour une éducation de qualité, une éducation profitable. C’est pourquoi, dit-il avoir pensé à enrôler un millier d’élèves dans le programme mis en place par le président et qui n’a d’intérêt que pour accompagner les populations dans leur prise en charge sanitaire. Aujourd’hui, se félicite-t-il, ce sont 1.000 élèves qui sont enrôlés dans le programme seulement, soutient-il, il n’est pas exclu que d’ici quelques temps, qu’un autre nombre aussi important de potaches, soit encore enrôlés. « Nous n’avons que cette ville que nous aimons et qui nous a tout donné ». Donc, lâche-t-il, quoi de plus normal d’apporter aux populations qui la composent, notre soutien.

Par Abdoulaye Fall / www.tambacounda.info /

Le Dg de la Sn Hlm sur l’affaire Khalifa Sall: «Insulter la méthode avec laquelle il a été mis aux arrêts, c’est insulter l’ensemble de notre dispositif judiciaire».

Le directeur général de la Sn Hlm en marge de l’assemblée générale que tenaient ses jeunes dans son fief du populeux quartier Plateau dans la commune de Tamba, s’est prononcé sur l’affaire Khalifa Sall. Pour lui, et devant une foule toute acquise à sa cause, il a asséné qu’il faut que les gens sachent que le maire de Dakar est un compatriote qui a été investi d’un pouvoir qu’il tient des sénégalais. Pour autant aussi, il faut que les uns et les autres sachent qu’il était un ordonnateur de dépenses, des ressources qui proviennent des sénégalais et qu’il doit rendre compte de leur utilisation. Aujourd’hui, poursuit le patron de la Sn Hlm, il est bon que les gens sachent tout aussi qu’il n’est pas devant le tribunal de Macky Sall ou encore moins devant ses juges. « Il est devant les magistrats qui sont investis du pouvoir de juger et, c’est ce qui est acceptable dans notre république », martèle-t-il. C’est pourquoi, fulmine-t-il, « insulter la méthode avec laquelle il a été mis aux arrêts, c’est insulter l’ensemble de notre dispositif judiciaire ». Et, c’est regrettable, l’opposition doit être appelée à plus de raison et de responsabilités, rugit le boss de la Sn Hlm qui pense que la fin de la récréation doit être sonnée et que les gens se concentrent sur les choses les plus essentielles au lieu de continuer à pérorer sur des banalités. Conseillant les membres de l’opposition qu’il qualifie de retardataires et de nihilistes, Kassé martèle que lorsque vous aspirez à diriger un pays que vous dites porter dans le cœur, vous devez en respecter les institutions, c’est la moindre des choses, vocifère-t-il.

Par Abdoulaye Fall/www.tambacounda.info /