Tambacounda: Des menaces réelles sur le parc de Niokolo Koba

Des feux de brousse aux nombreux empiètements dont la ruée vers l’or avec des autorisations délivrées jusque dans le parc, la croissance démographique et l’extension des terres agricoles, le pont de Moussala et le corridor routier et les feu de brousse, etc. les agressions contre le Niokolo Koba sont multiples. D’où la nécessité pour le gouvernement de «prendre les mesures urgentes» en vue d’une gestion durable du parc national. Concernant les empiètements miniers, le ministre a souligné que la cartographie a prouvé qu’il y a des mines d’or à l’intérieur du parc de Niokolo Koba. Cela constitue une preuve pour s’opposer juridiquement à cette ruée vers l’or jusqu’à l’intérieur du parc.

 

«C’est là un outil juridique pour s’attaquer, s’opposer» à la présence des miniers dans le parc a-t-il affirmé. Et d’ajouter que «maintenant, il nous faut gérer le parc de manière plus durable le parc, agressé par des zones amodiées ouvertes à la chasse qui sont dans la zone tampon qu’il nous faudra gérer plus durablement. Il nous faudra aussi gérer de manière participative, avec les neuf collectivités locales qui entourent le parc, avoir un travail de sensibilisation sur la richesse d’avoir un parc». L’autre agression qui cette-ci est en train de décimer la faune, c’est le corridor routier qui traverse le Niokolo Koba sur 100 km. Cet axe est fréquenté par plus de 300 camions maliens par jours, surtout les nuits, causant des accidents entrainant la disparition d’animaux.

Des fois, ce sont des citernes qui se renversent déversant des hydrocarbures et des produits toxiques. Et la protection et la sauvegarde des espèces est du ressort du gouvernement à qui il revient de «prendre les mesures urgentes en installant des ralentisseurs pour diminuer les cas d’accidents et sensibiliser les populations de cette localité sur l’importance du maintien du parc», a-t-il martelé. Concernant les empiètements miniers, le ministre a souligné que la cartographie a prouvé qu’il y a des mines d’or à l’intérieur du parc de Niokolo Koba.

Cela constitue une preuve pour s’opposer juridiquement à cette ruée vers l’or jusqu’à l’intérieur du parc. «C’est là un outil juridique pour s’attaquer, s’opposer» à la présence des miniers dans le parc a-t-il affirmé. Et d’ajouter que «maintenant, il nous faut gérer le parc de manière plus durable le parc, agressé par des zones amodiées ouvertes à la chasse qui sont dans la zone tampon qu’il nous faudra gérer plus durablement. Il nous faudra aussi gérer de manière participative, avec les neuf collectivités locales qui entourent le parc, avoir un travail de sensibilisation sur la richesse d’avoir un parc».

L’autre agression qui cette-ci est en train de décimer la faune, c’est le corridor routier qui traverse le Niokolo Koba sur 100 km. Cet axe est fréquenté par plus de 300 camions maliens par jours, surtout les nuits, causant des accidents entrainant la disparition d’animaux. Des fois, ce sont des citernes qui se renversent déversant des hydrocarbures et des produits toxiques. Et la protection et la sauvegarde des espèces est du ressort du gouvernement à qui il revient de «prendre les mesures urgentes en installant des ralentisseurs pour diminuer les cas d’accidents et sensibiliser les populations de cette localité sur l’importance du maintien du parc», a-t-il martelé. L’autre agression qui cette-ci est en train de décimer la faune, c’est le corridor routier qui traverse le Niokolo Koba sur 100 km. Cet axe est fréquenté par plus de 300 camions maliens par jours, surtout les nuits, causant des accidents entrainant la disparition d’animaux. Des fois, ce sont des citernes qui se renversent déversant des hydrocarbures et des produits toxiques.

Et la protection et la sauvegarde des espèces est du ressort du gouvernement à qui il revient de «prendre les mesures urgentes en installant des ralentisseurs pour diminuer les cas d’accidents et sensibiliser les populations de cette localité sur l’importance du maintien du parc», a-t-il martelé. Pour Ali Haïdar l’autre avantage de cet «outil de travail à entretenir» fruit du partenariat USAID/Wulanafa et CSE a mis à la disposition du Sénégal des informations sur la région de Kédougou, les ressources forestières, la faune et la flore, l’écosystème, sur le parc Niokolo Koba. Cela permettra de mieux discuter avec les collectivités locales voisines pour les sensibiliser sur la conservation des richesses contenues dans le parc.

Il permet d’identifier les zones d’intervention d’urgence, la priorité étant de mettre de l’ordre dans touts les agressions y compris l’exploitation du charbon et du bois de chauffe qui est en hausse, les carrières à ciel ouvert exploitées sans autorisation et sans que même les responsables des services de l’Environnement locaux ne lèvent le plus petit doigt. Pour Ali Haïdar l’autre avantage de cet «outil de travail à entretenir» fruit du partenariat USAID/Wulanafa et CSE a mis à la disposition du Sénégal des informations sur la région de Kédougou, les ressources forestières, la faune et la flore, l’écosystème, sur le parc Niokolo Koba. Cela permettra de mieux discuter avec les collectivités locales voisines pour les sensibiliser sur la conservation des richesses contenues dans le parc. Il permet d’identifier les zones d’intervention d’urgence, la priorité étant de mettre de l’ordre dans touts les agressions y compris l’exploitation du charbon et du bois de chauffe qui est en hausse, les carrières à ciel ouvert exploitées sans autorisation et sans que même les responsables des services de l’Environnement locaux ne lèvent le plus petit doigt.

Le coordonnateur national de l’USAID/Wulanafa, Babacar Salif Guèye a noté que la réalisation de la carte a nécessité l’utilisation des moyens satellitaires (ASTER et LANDSAT) pour la collection des bases numériques, l’avion et les visites de terrain ont fourni des images de la terre et en même temps révéler les risques encourus dans cette zone. L’étude entamée depuis 2009 par le CSE et USAID/Wulanafa couvre le parc de Niokolo Koba, classée patrimoine historique par l’UNESCO avec une superficie de 980 000 ha. Le directeur de l’USAID (Senegal), Henerson M. Patrick a rassuré quand au soutien de son institution tout en saluant la coopération dynamique entre le gouvernement, le ministère de l’Ecologie et de la Protection de la nature et l’USAID.

La rencontre sur la Gestion des ressources naturelles entre dans le cadre de l’atelier sur l’Application des technologies spatiales pour le suivi de la sécurité alimentaire ouvert lundi à l’UCAD II et ce jusqu’à samedi. Le coordonnateur national de l’USAID/Wulanafa, Babacar Salif Guèye a noté que la réalisation de la carte a nécessité l’utilisation des moyens satellitaires (ASTER et LANDSAT) pour la collection des bases numériques, l’avion et les visites de terrain ont fourni des images de la terre et en même temps révéler les risques encourus dans cette zone. L’étude entamée depuis 2009 par le CSE et USAID/Wulanafa couvre le parc de Niokolo Koba, classée patrimoine historique par l’UNESCO avec une superficie de 980 000 ha. Le directeur de l’USAID (Senegal), Henerson M. Patrick a rassuré quand au soutien de son institution tout en saluant la coopération dynamique entre le gouvernement, le ministère de l’Ecologie et de la Protection de la nature et l’USAID. La rencontre sur la Gestion des ressources naturelles entre dans le cadre de l’atelier sur l’Application des technologies spatiales pour le suivi de la sécurité alimentaire ouvert lundi à l’UCAD II et ce jusqu’à samedi.

Le directeur de l’USAID (Senegal), Henerson M. Patrick a rassuré quand au soutien de son institution tout en saluant la coopération dynamique entre le gouvernement, le ministère de l’Ecologie et de la Protection de la nature et l’USAID. La rencontre sur la Gestion des ressources naturelles entre dans le cadre de l’atelier sur l’Application des technologies spatiales pour le suivi de la sécurité alimentaire ouvert lundi à l’UCAD II et ce jusqu’à samedi.«La réalisation de la carte a permis de localiser visuellement le secteur minier à l’intérieur du parc et d’identifier les nombreux accidents qu’engendre le corridor routier sans parler de la pression humaine des neuf collectivités locales qui entourent le parc». C’est le ministre de l’Ecologie et de la Protection de la nature, Ali Haïd ar qui s’offusque ainsi des agressions multiple contre le parc national de Niokolo Koba un biotope à diversité élevée il y quelques années. C’est après la réception de Supports cartographiques de l’occupation des sols du Sud-Est du Sénégal réalisés par le Centre de suivi écologique (CSE), en partenariat avec l’USAID/Wulanafa, au cours d’un atelier sur «la gestion des ressources naturelles» hier, mardi 10 juillet à Dakar.

1000 1200 feux de brousse par ans

L’autre type d’attaques contre le parc, c’est la croissance démographique et l’extension des terres agricoles, le pont de Moussala qui attend d’être ouvert qui engendrent la disparition d’espèces ligneuses. A l’issue des présentations, au regard des images de 1986 comparées à celles de 2007 et 2010 sur les mêmes sites, l’on perçoit l’état de dégradation avec des espèces ligneuses qui disparaissent, l’avancée des terres agricoles. S’y ajoute les feux de brousse fréquents qui sont souvent du fait des populations, des récolteurs de miel, ou sont issus des défrichages des champs. Car le Sénégal enregistre entre 1000 à 1200 feux de brousse par an.

Délimitation du parc : réduction de la distance des bornes de 5 à 1km

Le colonel Souleye Ndiaye du service des Eaux et forêts qui reconnaît que les agents mettent «des feux précoces sans en étudier l’impact sur la végétation», la délimitation du parc également avec des bornes distantes de 5 km l’une l’autre favorise des empiétements.

C’est pourquoi il a préconisé la réduction de cette distance en posant les bornes à chaque km du Nikolo-Koba qui est un site d’information pour sa diversité animalière aussi bien pour les élèves et chercheurs que pour le développement du secteur touristique.

Source sudonline.sn /