
Victoria Silvstedt a bâti sa carrière sur son physique. Aujourd’hui, l’ex-playmate et égérie TV se voit avant tout comme une businesswoman.
Le monde avait découvert la plantureuse blonde nue dans «Playboy», en 1997. Victoria Silvstedt était alors devenue la pin-up de toute une génération. Dix-sept ans plus tard, la Suédoise ne veut plus qu’on la catalogue ainsi. «C’est du passé. Je me sens trop vieille pour être un sex-symbol», a-t-elle évoqué avec humour dans «Voici». Seuls ses proches sont encore autorisés à la taquiner sur le sujet.
Pourquoi Victoria renie-t-elle donc ce qui l’a fait connaître? Parce qu’aujourd’hui la bimbo veut être prise avant tout pour une «femme d’affaires». Elle est l’égérie d’une marque de maillots de bain, ambassadrice pour des canapés et elle a co-animé pendant six ans «La roue de la fortune» avec Christophe Dechavanne sur TF1. Elle a même eu sa téléréalité sur E! en 2008. Une expérience qu’elle ne retentera pas de sitôt. «C’était l’enfer. J’ai été suivie pendant quatre mois. Au bout de trois jours, j’avais envie de mettre des baffes à toute l’équipe.»
Toujours au registre télévisuel, Victoria a révélé que TF1 lui avait de nouveau proposé «Danse avec les Stars»: «J’hésite encore. J’ai déjà fait la version italienne et c’était tellement dur!»
(fec)