Le responsable du labo en prison, pour avoir photographié le sexe de la japonaise

Préposé au laboratoire chimie et biologie de la clinique Rahma de Mermoz, Bassirou Diop avait plus de préoccupations à fantasmer sur les attributs sexuels de ses clientèles qu’à les aider à faire diagnostiquer leurs maladies. Aussi, n’hésitait-il pas au moment de leur faire des prélèvements vaginaux à photographier avec son téléphone leur sexe. Mal lui en a pris quand son stratagème est remarqué par une patiente japonaise, stagiaire à Enda Inter Monde. Selon le journal L’Observateur qui rapporte cette histoire, la Japonaise a porté plainte au Commissariat de Dieuppeul. Le mis en cause dort depuis à Reubess, malgré des dénégations basées sur un besoin médical, à savoir « la comparaison de matériaux utilisés lors du prélèvement : la cyto-brosse et l’écouvillon ».

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