
A preuve, notent les libéraux, le «président de la cour Henri Grégoire Diop ne cache pas son parti pris et tout son comportement trahit son empressement de bâcher les audiences et prendre une décision connue d’avance». Aussi, poursuivent-ils, ses «propos injustes enlèvent tout doute sur son intention de condamner Karim Wade».
Toutes choses qui font que la Fncl dénonce ainsi «une conspiration et un procès digne des méthodes staliniennes».
En dernière analyse, les cadres libéraux dénoncent «l’instrumentalisation de la justice pour régler des comptes politiques par la liquidation judiciaire d’adversaires politiques».