
“Un directeur peut se permettre, aujourd’hui, d’avoir ses propres députés. Chaque DG qui foule au pied les principes de la bonne gouvernance se procure ses propres députés qui le défendent, qui l’adoubent qui le sanctifient”, regrette-t-elle.
“Un directeur peut se permettre, aujourd’hui, d’avoir ses propres députés. Chaque DG qui foule au pied les principes de la bonne gouvernance se procure ses propres députés qui le défendent, qui l’adoubent qui le sanctifient”, regrette-t-elle.