
Le viol suivi de meurtre de la responsable de Pastef à Keur Massar est resté en travers de la gorge du ministre chef de cabinet du président de la République. L’ancien président du groupe parlementaire de « Bennoo Bokk Yakaar » (Bby), Moustapha Diakhaté, pense qu’on doit corser les peines contre les violeurs pour dissuader ceux à qui cela traverse l’esprit.
Moustapha Diakhaté estime que le Sénégal doit ajouter aux dispositions de son code pénal de nouvelles incriminations telle que la castration définitive des violeurs.
IGFM