Lors de la Journée internationale de la fille (11 octobre) à Bakel, des jeunes filles de clubs et organisations locales ont demandé le respect de leurs droits à l’éducation, une meilleure protection et un accompagnement pour contribuer au développement. Dieynaba Keita, présidente du club des jeunes filles, a pointé les obstacles comme les mariages précoces, les inégalités et le manque d’opportunités, et a encouragé le renforcement d’initiatives telles que « les vacances Ados ». L’événement, organisé par le Comité départemental de protection de l’enfant en partenariat avec le GRDR, a réuni autorités locales, responsables de l’éducation et acteurs de développement. Le point focal du CDPE, Dibor Ndiaye, a salué leur engagement et appelé à pérenniser et élargir les actions de plaidoyer pour l’épanouissement des filles.



