
Jean-Marc R., déjà deux fois condamné aux assises pour viols et pour assassinat, a été mis en examen mercredi dans l’enquête sur la disparition de Françoise Hohmann, survenue en 1987 à Strasbourg.
Disparition inexpliquée
«Jean-Marc R. a été mis en examen» du chef de «séquestration ou détention arbitraire criminelle» à l’issue de sa garde à vue entamée lundi, au cours de laquelle il a régulièrement invoqué «son droit au silence», a annoncé la procureure de la République de Strasbourg dans un communiqué. Sa compagne de l’époque, Joëlle F., avait elle aussi été placée en garde à vue lundi. Elle a été relâchée sans poursuites.