Dans une résolution adoptée jeudi, le Parlement ukrainien affirme que le pays ne «reconnaîtra jamais l’annexion par la Russie» de la Crimée.
11:00
L’Ukraine va se battre pour «la libération» de la Crimée dont elle ne «reconnaîtra jamais l’annexion par la Russie», stipule une résolution votée jeudi par le Parlement ukrainien. «L’Ukraine ne cessera pas sa lutte pour la libération de la Crimée aussi longue et douloureuse qu’elle soit», selon cette résolution votée à l’initiative du président par intérim Olexandre Tourtchinov.
10:52
Les USA «déçus» par l’attitude de Moscou. Les Etats-Unis sont «profondément déçus» des réticences de la Russie à l’envoi d’observateurs supplémentaires de l’OSCE en Ukraine.
10h37
L’Union Européenne va allonger la liste des personnalités russes et ukrainiennes pro-russes frappées d’interdiction de visa et de gels des avoirs, a annoncé jeudi la chancelière Angela Merkel, tout en laissant la porte ouverte à des sanctions économiques en cas d’escalade.
10h16
L’Union européenne (UE) adoptera des mesures punitives contre la Russie, dont des sanctions économiques, si la crise ukrainienne s’aggrave, a déclaré Anglela Merkel. La chancelière s’est exprimée jeudi matin devant le Parlement allemand.
09h17
Le commandant de la marine ukrainienne Serguiï Gaïdouk, détenu mercredi par les forces pro-russes en Crimée, a été relâché dans la nuit. Les autres otages civils ont aussi été libérés, a annoncé jeudi matin la présidence ukrainienne citée par Interfax-Ukraine.
07h28
L’administration russe a commencé à délivrer des passeports russes en Crimée.
04h00
C’est la fin de ce live, merci de l’avoir suivi. Retrouvez ici la synthèse des événements du mercredi 19 mars.
03h25
La Russie a averti cette nuit que les pressions européennes et américaines à propos du rattachement de la Crimée pourraient influer sur sa position dans le cadre des discussions sur le nucléaire iranien. «Nous ne voudrions pas utiliser ces discussions comme un élément dans un jeu de surenchères prenant en compte les humeurs dans diverses capitales européennes, à Bruxelles et à Washington», a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Ryabkov à l’agence Interfax. «Si nous y sommes contraints, nous emprunterons ici le chemin des représailles, parce que (…) la valeur historique de ce qui ce qui s’est passé ces derniers mois et ces derniers jours du point de vue du rétablissement de la justice historique, et la réunion de la de la Crimée et de la Russie sont incomparables avec ce que nous faisons» sur l’Iran, a-t-il dit. «En dernier ressort, le choix et la décision reviennent à nos collègues de Washington et Bruxelles», a-t-il affirmé. «L’issue positive de ces discussions dépend d’eux, de même que le fait de savoir si nous prendrons ou non le chemin de représailles», a-t-il ajouté.