
Pour Moustapha Diakhaté, président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakar (Bby), la transhumance, plus qu’un « fléau », est une « malédiction de la classe politique » qu’il faut combattre. « Aujourd’hui, constate le député de la majorité, les gens n’adhèrent plus dans les partis par conviction, mais par intérêt. Il y a donc urgence pour nous acteurs politiques à mériter la confiance des Sénégalais.
Pour Moustapha Diakhaté, l’enjeu est clair. « En 2012, nous avions promis aux Sénégalais que le pays allait changer. (Mais) Si nous continuons les mêmes pratiques, nous serons sanctionnés comme ceux qui étaient là avant nous ».
(Texte : Enquête)