Au père noël, les enfants du jardin d’enfant Aloise Kobes ont clamé la paix durable en Casamance et au mali. Ce jour qui leur ait consacré riche en couleurs ou deux papa noël ont été les invités surpris venus en calèche. Les touts petits, plus de deux cent trente que compte cet établissement cette année, venus prendre leurs cadeaux, ont dans leurs belles prestations représentées en chorégraphie la colombe de la paix un Afrique.
Dans les différentes prestations, les enfants demandent leurs droits à la paix, à l’éducation, à la santé, à l’amour, à la culture tout en promettant de remplir leur devoir devant la sœur Marie Agnès Ngandou, directrice de l’établissement et de Bernard Seck, le Directeur de l’Enseignement De Enseignement Catholique (DIDEC) et des parents fiers de participer à cette journée du reste pleine de grâce. Pour débuter la fête, un véhicule déverse des décibels de sons entrecoupés d’une voix suave qui invite à plus d’attention pour les enfants. Ces petits anges, un don de Dieu qu’il faut louer, soigner, aimer, chérir, et éduquer. Ce tableau pittoresque est dans la trame d’une caravane de calèches décorées avec en tête les deux pères noël, à côté des enfants venus pour la fête que le personnel de ce jardin d’enfants organise chaque année. Les parents dans leurs plus beaux habits avaient fini de prendre place dès les premières heures de la matinée. Un joli sapin avec ses guirlandes et ses ballons s’extirpe splendidement de la flopée de cadeaux magnifiquement enveloppés et entreposés. Sœur Marie Agnès, laisse exploser sa joie devant les visages radieux des enfants les maitresses et éducatrices dans leur jolie robe en indigo pour exprimer en cette journée de joie et d’allégresse, pour dire joyeux noël aux enfants. Aux parents, la Directrice leur a demandé de se réjouir avec les enfants car Noel est leur fête.
Pour Monsieur Seck, le DIDEC, c’est une joie de passer la journée avec les pensionnaires de ce jardin d’enfant Aloise Kobes. À cette fête se » sont joints des invités venus de Nguéne et de Goudiry. Les différentes interventions se sont focalisées sur l’importance de cette étape de la vie de l’enfant. Le préscolaire n’est pas moment de jeux chant et danse mais c’est le début de l’éducation qui forge l’enfant dans ces responsabilités futures. Toutes les bases et pré requis sont inculqués dans une ambiance pédagogique et sereine pour que l’enfant grandissent harmonieusement dira M. Seck. Les rudiments ce sont l’apprentissage de la vie en société et surtout à acquérir des savoirs nouveaux. Le DIDEC a tenu à féliciter la directrice, avec toute son équipe, qui a organisé la fête en si peu de temps car pour lui, cette présente ouverture qui ne s’est déroulée qu’au début du mois de novembre avec les différentes que nous avons connues. Une fête pendant laquelle les enfants ont demandé avec force la paix au mali et en Casamance.
Pape Demba SIDIBE / www.tambacounda.info /