Le tout nouveau président du conseil national de la jeunesse du Sénégal à Tambacounda

 

 

 

M. Khadim Diop, le tout nouveau président du conseil national de la jeunesse du Sénégal (CNJS) a réservé sa première sortie officielle à la région de Tambacounda. Il prenait part à la cérémonie d’inauguration du centre multifonctionnel de formation et d’apprentissage des jeunes et des femmes, entièrement financé et construit par le ministre Sidiki Kaba. il n’a pas fait dans la langue de bois pour soutenir que, c’est par des actes pareils que l’on peut soutenir et aider les jeunes du pays. Il a profité pour appeler les autres responsables du pays à imiter le geste de Sidiki Kaba au grand bénéfice des jeunes du pays.

Khadim Diop semble vraiment être séduit par l’acte posé par le garde des sceaux. La construction d’un centre d’apprentissage et de formation pour les jeunes et les femmes est passée par là. Le paladin et ministre de la justice a gracieusement mis à la disposition des jeunes ce bijou d’une valeur de plusieurs de millions de francs. Très séduit, le nouveau patron des jeunes du pays soutient sans mettre de gants, c’est par ces actes que les responsables peuvent aider les jeunes ». Ce centre, contribuera grandement dans la formation des jeunes, se félicite Khadim. Dans cette région à fort taux d’immigration des jeunes, un bijou pareil pourra contribuer au maintien des jeunes dans le terroir en, les aidant à pouvoir concevoir des projets bancables mais aussi viables. Mieux, dans ce centre, ils pourront être formés à développer des activités qui leur permettront à l’issue, de pouvoir se prendre en charge, explique leur patron.

Ce centre poursuit toujours Khadim répond à une de nos préoccupations consistant à lutter contre le manque de formation des jeunes. Dans les objectifs que nous nous sommes fixés, la formation des jeunes, figure en bonne place, laisse-t-il entendre. C’est pourquoi, dit-il marteler avec insistance, que l’acte posé par Sidiki Kaba en faveur des jeunes doit être médité et imité par tous les autres responsables dans le pays de quelques bords qu’ils puissent se trouver. « Si tout le monde faisait comme Sidiki Kaba, le chômage et le manque des jeunes seraient bientôt conjugués au passé », croit dur comme fer, le nouveau boss des jeunes du pays.

Par Abdoulaye Fall / www.tambacounda.info /